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21 août 2008 4 21 /08 /août /2008 12:22

Il y a quelque part
Perdu, isolé, un lieu étrange.
Là, où les princes sont vraiment charmants,
Là, où les fées et les mythes existent réellement,
Des ogres et des gnomes,
Des elfes et des lutins se côtoient,
Et qui, pourtant,
Vivent sereinement.
On dit même que sous les arcs en ciel,
En creusant un peu la terre,
On peut découvrir des trésors d’émerveillements !
C’est un mode qui ne triche pas,
Qui existe réellement !
Là-bas,
Tout est possible.
On dit même
Que les méchants peuvent parfois être gentils !
Certains arbres centenaires parlent,
Des hippopotames dansent en tutu,
Des pélicans aident des poissons,
Il y a même un barbu qui se promène en traîneau !

Ce monde n’est pas si loin,
Il suffit,
Juste de se souvenir
De son enfance !
Hihi !

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11 août 2008 1 11 /08 /août /2008 14:03
aujourd'hui pas de textes ! Pas d'histoire ! Rien si ce n'est  ceci :

Merci !!!

Merci à ceux qui suivent ce blog, à tous ceux et celles qui ont le courage de lire ou de relire ces petites histoires traitées sous forme de poèmes !!! Je ne ferme pas ce blog, loin de là, mais j'avais juste envie de remercier tout ces  internautes ! Merci à celles et à ceux qui me laissent des "coms" d'encouragements pour continuer à divulguer ces "récits" !.
 Je ne vais pas faire de listes, et pourtant...

En tout premier lieu,
Merci à Pierre qui fut l'un de mes premiers lecteurs et qui m'a encouragé à continuer dans cette voie là !
Merci à Jipé qui fut l'un des premiers à découvrir mes textes oralement, et qui m'a fait sortir de clear, ce site de merde, où avant je tenais un blog ! Et qui m'a fait découvrir ce site nettement mieux que l'autre !
Merci à Nath (et Val) qui furent les premières à m'encourager quand j'ai commencé a publier mes textes !
Merci à Kevin, Nico, Domino et à toutes, tous les autres qui me suivent et apprécient ce blog, qui lisent et ne laissent pas toujours de coms, merci aussi !!! Il se peut (et certainnement) que  j'oublie dans cette courte liste des gens que j'aime bien, mais tant pis, je pense aussi à eux !

merci à Mael, avec qui j'ai entretenu de longues conversations,et qui je l'espere continuera !!!! D'ailleurs Mael, j'ai une adresse internet mais je ne sais pas si c'est la bonne ! Je ne peux dévoiler cette  adresse, je sais qu'elle arrive car je ne reçois pas de retour me disant que cette adresse n'existe plus, mais j'aimerai avoir de tes nouvelles ! lol

Merci aussi à mes parents (mais ceci est une autre histoire), lol !!!!

Et je finirais par cet etonnement :
Il est etonant de voir que mes amis les plus proches (ceux que je connais depuis tres longtemps 10-15-20 ans), ma famille, ne semblent pas ou peu porter interêt à mes écrits, et que vous internautes ceux et celles que je connais depuis 2-3 ans me suiviez ! Ceci n'est en rien un reproche, juste une constatation, un étonnement ! Voila tout !

alors donc, MERCI, encore !!!!!
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4 août 2008 1 04 /08 /août /2008 12:54

L'épée à la main
Syl avance doucement
Et ses yeux regardent partout
Il avance dans le labyrinthe
Et le Minotaure l'attend.
Assis sur son trône
Tressant sa barbe
Et croisant ses pattes
Il attend le sacrifié.
Et Syl arrive
Sans se tromper
Comme drogué par l'odeur bestiale !
Il arrive dans la cour,
Et le Minotaure regarde cet homme nu, son épée à la main.
Et l'homme s'arrête,
Les jambes tendues,
Il transpire.
Le Minotaure se lève,
Charge sur l'homme
Qui plonge son épée dans le vide.
Le mythe a évité.
Furieux il recharge
Et envoie Syl en l'air.
Sa lourde épée retombe
A côté de lui.
Il gît maintenant
Sur le sol poussiéreux de l'arène.
L'animal, est maintenant
Debout devant lui.
Il regarde cet homme qui saigne.
Il lève sa patte,
Son sabot s'écrase sur la tête.
L'homme n'a pas réagit,
Il est mort.
Et les spectateurs applaudissent
Le mythe retourne sur son trône,
Rigole de son rire gras,
Recroise ses jambes
Et retresse sa longue barbe.
Il attend un autre.

La beauté n’est pas éternelle !
Le Minotaure ne cessera d'exister !

 

 

 

PS : le dessin est de Sylvain

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24 juillet 2008 4 24 /07 /juillet /2008 16:07

Christ s'arrêta de courir un instant,
Il s'épongea le front.
Le temps était au froid,
Il transpirait pourtant.
La fuite ?
La peur ?
Peut-être un peu des deux !
La femme qui le traquait
Ne lui laissait aucun répit.
Il était la cible,
La proie à trouver.
Des affiches,
Des portraits-robots
Traînaient sur les poteaux,
Les réverbères,
Les magasins,
Les bars de la ville !
Il avait pu fuir, in extremis,
Du dernier traquenard tendu.
Il retournait, dans sa tête,
Toutes les hypothèses
De ce qu'il aurait pu faire,
Contrarier, gêner
Dans cette ville.
Ce village devenu ville
Qui l'avait vu naître,
Grandir et s'affirmer
En tant qu'homme.
Maintenant,
Dans ce présent lamentable,
Ce futur contrôlé, étriqué, policé,
Il ne comprenait pas
Cette chasse à l'homme.
La nuit était son seul refuge,
Son seul espoir.
Quand les soleils se couchaient
Pour laisser place
Aux trois lunes rousses,
Christ pouvait se reposer.
Quand,
Du bout à l'autre de la ville,
Le bruit, les lumières s'éteignaient,
Quand,
Tout le monde dormait,
Alors Christ se sentait en sécurité.
Le dôme qui recouvrait
Entièrement la ville
La protégeait de l'air toxique extérieur
Et des rayons mortels de ces lunes.
Curieusement,
On pouvait voir à travers les parois
De cette protection,
Mais la lumière extérieure émise
Ne pouvait traverser cette matière.
La ville, ainsi,
Etait plongée dans le noir
Et toute activité cessait alors.
Toutes vies,
Animales, végétales
Arrêtaient ses activités.
C'était un endormissement total.

L'un après l'autre
Les soleils se levaient.
Frappé par un rayon,
Christ ouvrit un œil,
Puis deux,
Et se leva.
Il scruta l'horizon,
Et vit sa peur grandir
Elle était là, encore,
Qui s'agrandissait au fur et à mesure.
Il la voyait prendre forme,
S'étalait sur les murs avoisinants,
Comme pour se moquer de lui,
Comme pour lui dire : " Tu ne m'échapperas pas !"
Il comprit à cet instant,
Que cela ne servait à rien de fuir.
Alors il ferma les yeux
S'arrêta de respirer
Et se laissa envahir
Par son ombre.

Il avait à peine
30 ans !

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13 juillet 2008 7 13 /07 /juillet /2008 13:01

C'est un bateau sans voile
Qui dérive et sombre.
Dans le ciel,
Un goéland passe.
Il regarde avec dédain
Le frêle radeau tanguant
Au gré de la houle.
Quelques hommes allongés,
Sont épars sur le rafiot.
Ils agonisent lamentablement
Supplice infernal
De ne pouvoir boire
Toute cette eau !
Et cette saleté de soleil,
Qui, sans pitié,
S'abat sur ces corps
A moitié et déjà brûlés.
Le goéland sourit doucement
Puis rigole franchement,
Juste délire d'un homme.
La mort approche
Inexorablement.
Le prince des airs plonge dans le vide,
Tombe comme une pierre
Et pourtant,
Se pose délicatement sur les flots…
Un homme, tête à l'envers,
Le voit.
Il croit la terre proche,
Mais ne sait pas
Que l'oiseau suit le bateau,
Pour trouver lui aussi
Une terre !
Frêle espoir de l'homme
Qui,
Dans un râle,
Meurt.
L'oiseau placide,
Ne regarde même pas
Ce corps, maintenant mis à l'eau
Par ses compagnons d'infortune.
Piteux radeau qui se disloque.
Si le soleil ne finit pas son travail
C'est la mer qui les engloutira…
Le goéland jette un coup d'œil
Rapide sur cette embarcation de fortune,
Et,
Devant l'effroyable état de pourriture
Qui règne a bord
Préfère s'en aller à tire d'aile,
Pour rejoindre un autre bateau,
Plus loin…
Tandis que la Méduse sombre et coule
Avec tous les hommes
A son bord.
C'est con la vie !

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3 juillet 2008 4 03 /07 /juillet /2008 11:24

A vous garçons de la campagne
Qui s'ébattent sous le soleil d'or !
Nus dans toute votre nudité,
Et vos corps vêtus des rayons du soleil.
A vous, garçons de mes rêves
Qui me firent tant de chemins vers l'amour,
Et,
Tant de rêves !
Vous fîtes de ma jeunesse
mes plus beaux souvenirs !
Alors que je vous regardais
Batifoler dans l'eau
Je couchais ces vers sur ma feuille vierge.
Orgueilleux et fiers de vos corps,
De votre sourire radieux,
Ou de vos clins d'œil malicieux,
Vous m'aimâtes dans ma solitude
Et vous m'offrîtes mes plus belles journées.
Aussi blond qu'est l'épi dans son champ,
Vos cheveux tanguaient sous le vent
Pareil aux vagues de la mer.
Quand du haut du tertre
J'admirais vos muscles bandés
Soulevant, avec la longue fourche,
Les bottes de foin pour les fourguer sur la charrette,
Quelles ne furent alors mes palpitations !
Oh ! Garçons des campagnes,
Aussi beaux,
Aussi forts,
Aussi désinvoltes,
Je vous aimâtes tant,
Tant et si bien
Que, maintenant que je suis vieux
Je peux vous dédier ces quelques lignes !
Je laisse ma mémoire divaguer
Et se plaire dans les souvenirs de ma jeunesse.
Mes vieux os craquent
Mais mes souvenirs restent là,
Présents,
Comme si c'était hier !
Demain je serai mort.
Adieu donc,
Amours de ma campagne
Là où je n'ai jamais vécu !
HIHI !

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23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 15:36

Non ! Je ne veux pas y croire
Notre terre n’est pas ronde
Et pour preuve,
Que l’on réunissent
Tous mes princes, mes chevaliers,
Sires et manants.
Que l’on prépare,
Sur le champ,
La plus grande armée jamais vue !
Bâtissons aussi
De somptueux navires de guerres
Et allons conquérir ce monde !
Notre magnificence
N’aura d’égale que le pouvoir du savoir.
Mais je sais,
Que nous rencontrerons bien des difficultés,
Car là bas, au loin,
Certaines contrées sont hostiles
Nous ferons de nos ennemis
Nos amis et ainsi
Nous serons
Si cette terre est ronde !

Le roi est fou
Le roi est fou.
Il est tombé dans la folie
Il veut nous entraîner dedans
Et nous pousse à agir ainsi.
Quelle importance de savoir,
Ne sommes-nous pas bien ici ?
Pourquoi vouloir savoir ?
La terre peut être comme elle l’entend.
Ici je me complains,
Mais je suis à son service
Alors j’irai.
Quoi qu’il m’en coûte

Ils partirent en croisade.
Grande était la flotte
Immense son armée.
A des kilomètres,
On pouvait sentir le sol trembler
Comme dix troupeaux d’éléphants à la charge.
Des pays furent conquis.
Et de victoires en victoires
La flotte et l’armée s’agrandissaient.
Peu fier était le roi
Quand il regardait passer
Ses troupes.
Il rencontra tant de choses,
Vu tant de merveilles
Comprit et apprit tant de nouvelles sciences,$que tout le monde croyait
Que cela en était fini.
Mais que nenni !
Le roi était avide de connaissances,
Et se résignait à se rendre à l’évidence
Que cette terre était si belle et bien ronde !

Il faudra un jour que je lui parle.
Lui dire que certaines personnes
Ne veulent plus le suivre,
Qu’il faut un jour s’arrêter,
Que sa folie doit s’estomper !
Cette terre est ronde.
Un point c’est tout !
Cela fait déjà des années
Que j’essaye de lui parler
Mais toujours il m’évite
Et se retranche quelque part,
Je ne sais où,
Ou j’ai peur de le retrouver.

Où sont mes cartographes ?
Je veux voir mon royaume !
Nous nous sommes fait tant d’amis,
Conquis tant de royaumes,
Trois années que nous voyageons,
La carte devrait déjà être terminée,
Et je suis si curieux de voir la forme,
La forme de cette terre.
Alors,
Cartographe,
Montre moi tes dessins.
Explique moi,
Il me semble que tout cela
Forme une boucle.
Cette terre serait-elle ronde
Comme je l’ai vue dans mon rêve ?
Se peut-il que cela soit donc vrai ?

Après trois longues années,
Le roi commençait à se rendre compte
Après avoir tant fait,
Tant parcourus,
Tant guerroyé,
Découvert tant de choses,
Le roi considérait son rêve
Comme bon aloi.
Mais jamais il ne revit
Sa verte et chère contrée.
Comme, d’ailleurs, tous les gens
Avec qui, il partit.
Pourtant son âme
Avait essayé de le lui dire,
Mais, à chaque fois,
Il n’a pas voulu l’écouter.
A chaque fois
Il se trouvait de bonnes ou fausses excuses
Pour s’occuper différemment
Et oublier ses pensées.
En quelque sorte il était fou,
Mais sous le feu de sa passion
Il s’échina à aller toujours plus loin.
Bien sûre, que cette terre faisait une courbe,
Une énorme ligne qui tournait et tournait,
Comme une route qui serpente le long d’une montagne.
Mais chaque chose à une fin,
Comme un entonnoir,
La courbe s’arrêtait
Et tout le monde
Tomba dans le néant !

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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 14:49

  Les soirs de pluie
Quand tout va mal
Aux soirs des chagrins
Des larmes qui ruissellent
Et la peine dans mon corps
J'ai mal et je pense à toi.
Si tu savais,
Si tu savais,
Ma laisserais-tu ainsi ?

.../...

Toucher du bout des doigts
le silence de l'effroi
et j'ai senti au cours
de ces années traversées
toute la détresse du jour
et les paillettes des nuits enfermées.

J’ai fui toutes les religions
traîné dans tous les bastions
a toujours courir
on en oublie aussi de vivre

il m'en a fallu du temps
de me traîner pour te chercher
mais partout des illusions à pleurer
et à chaque fois, à chaque fois ces mêmes relents
qui me sont restés à jamais
enfouis dans mon coeur fermé.

Maintenant je sais
que toutes ces fuites
n'ont été qu'une suite
de faux fuyants et même de lâcheté
et j'ai senti du bout du coeur
le silence de l'effroi
et j'ai touché du bout des doigts
le soupçon d'un autre ailleurs.

 

 

 

 

 

 

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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 11:31

…/…
Je me serais alors approché doucement. Toi, nu sur le lit, attendrait que ma bouche vienne te lécher. Lentement, cette langue se serait attardée sur tes pieds puis serait remontée entre tes cuisses, tout le long de ta jambe. Ton sexe dressé et quelque peu mouillé, touchant mes cheveux, bougerait avec violence. Alors tes mains auraient pris ma tête, la guidant vers ton jardin secret… Ma langue se serait tendue, fouillant dans sa hâte, milles recoins cachés, titillant ton anus frétillant et mouillé. Toi, te creusant les reins, ouvrant ainsi un peu plus ta raie et offrant à cette langue avide et curieuse, toute l'intimité et la chaleur de ton corps.
Une de mes mains enserrerait ton sexe, le caresserait, remontant et redescendant peu à peu, le rendant encore plus dur, plus excité, tandis que l'autre main, serait sur ton sein déjà dur, lui aussi, de plaisir.
J'entendrai ton souffle rauque, sentirai la peau de ton corps frissonner, m'enivrerai de toutes tes odeurs corporelles, O amour !
Alors tes mains attireraient ma tête pour honorer le prestige à ta queue relevée. Ma bouche se serait dirigée vers ce pylône, l'embrassant, l'enfournant, le suçant. Ton gland rouge, excité par le désir grossirait davantage. Enflé par tant d'excitations, par tant de gestes doux et sauvages, je sentirai alors ta sève monter… Mais non, pas tout de suite, attendre encore le moment et ralentir le mouvement infernal de la cadence,
Car,
Tout ton corps doit éprouver la volupté des frissons.
Ma tête remontera tranquille, vers ta bouche pour chercher ta langue et s'abandonner dans les délices de baisers fougueux, d'étranges baisers amoureux et passionnels. Nos corps sans dessus dessous, désireux de se connaître, d'apprendre chaque millimètres de ta peau, et enfin, de conquérir toute cette puissance contenue.
Alors ce corps excité de partout empalerait cet autre, cet inconnu. Bientôt ils ne feront plus qu'un. Un unique désir dans un unique corps. Toi et moi pour moi et toi. Le moment du désir, plus fort encore, pour que ne cesse ce moment, mais déjà.../... et même si.../... ne plus se retenir et s'éparpiller enfin, dans ce corps.

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2 juin 2008 1 02 /06 /juin /2008 17:51

L’espoir est désormais remis en cause.
Depuis la nuit des temps
Ils ont toujours cru.
Mais,
Depuis qu’est venue cette vague,
Cette monstrueuse vague,
Ils ont,
Pour la première fois,
Douté !
Déplorable fiasco d’une synergie mentale !

 Tout se transformait.
Gangrène hypothétique
D’une cellule reproductrice avariée
Par excès de syntonisation !
Et la vague était arrivée,
Emportant et ravageant tout.
Personne, au début, n’avait subi les changements.
Ces petites prémisses du début
Auquel on ne porte aucune importance
Mais qui sont là, bien présentes.
Même si quelques changements
Dans les syntonisations étaient survenues,
Même si quelques anciens avaient élevées leurs voix
Pour avertir les plus jeunes,
Ils n’y avaient prêté guère attention.
Et ils préféraient traiter de fous et de marginaux
Plutôt que de prendre au sérieux ces élucubrations !
Ils avaient tort
Et ils ont payé au prix fort
Leurs négligences !

On ne peut, impunément,
Jouer avec l’espace spatio-temporel
Sans en subir les conséquences !

Comme une cellule malade,
Le doute d’un plantage
S’était immiscé dans une conscience

Gangrenant
Par la suite,
Tous les actes de déplacement mental.
Déstructurant les détails,
L’osmose du fil conducteur,
Et le doute s’était inexorablement installé.
L’assurance de leurs actes
Avait perdu de sa force,
Et de plus en plus,
L’union disparaissait.
Et la vague arriva.
Tsunami bleu effrayant
Englobant dans son passage
Tout notre petit monde rose.

Et merde
L’ultra libéralisme
Venait d’arriver au pouvoir !

 

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